- dim. 23 juin 2019 15:00
#4271
Bonjour
Agé aujourd’hui de 57 ans , je travaille depuis plus de 25 ans dans une société de contrôle de navires en tant qu'inspecteur (c'est à dire contrôleur) tant en France qu'a l'étranger, dont bon nombre jusqu’à récemment contenait encore de l'amiante, et notamment dans des chantiers de réparation et de construction dont les noms figurent dans la liste qui est publiée dans l'arrêté du 7/7/2000 tel qu'amendé.
Dans cette société, j'y ai également pratiqué des diagnostiques amiante sur des navires de commerce français jusque dans les années 2015, dans l'application du décret 96/98 pour les navires.
Même si mon entreprise n'est pas déclarée dans cet arrêté comme établissement pouvant donner droit à allocation de cessation anticipée, il nous est cependant demandé le cadre de la médecine du travail, de nous soumettre à une radio des poumons régulièrement tous les 2 ou 3 ans pour en contrôler l’amiante.
J'ai aussi navigué sur des navires de commerce français de la Compagnie Générale Maritime, construits avant 1998, ayant contenu de l'amiante.
J'ai également travaillé en tant qu'ingénieur matériel dans une société de travaux publics fabriquant des enrobés.
Ma question est simple: ai-je droit à revendiquer auprès des services publics à une quelconque reconnaissance du fait que j'ai été en contact avec l’amiante, et je le suis encore sur des navires étrangers dont la réglementation nationale autorise encore l'amiante, et par là-même bénéficier d'une cessation anticipée d'activité?
Si oui, pouvez-vous m'indiquer la marche à suivre?
Merci d'avance
Bien cordialement
Agé aujourd’hui de 57 ans , je travaille depuis plus de 25 ans dans une société de contrôle de navires en tant qu'inspecteur (c'est à dire contrôleur) tant en France qu'a l'étranger, dont bon nombre jusqu’à récemment contenait encore de l'amiante, et notamment dans des chantiers de réparation et de construction dont les noms figurent dans la liste qui est publiée dans l'arrêté du 7/7/2000 tel qu'amendé.
Dans cette société, j'y ai également pratiqué des diagnostiques amiante sur des navires de commerce français jusque dans les années 2015, dans l'application du décret 96/98 pour les navires.
Même si mon entreprise n'est pas déclarée dans cet arrêté comme établissement pouvant donner droit à allocation de cessation anticipée, il nous est cependant demandé le cadre de la médecine du travail, de nous soumettre à une radio des poumons régulièrement tous les 2 ou 3 ans pour en contrôler l’amiante.
J'ai aussi navigué sur des navires de commerce français de la Compagnie Générale Maritime, construits avant 1998, ayant contenu de l'amiante.
J'ai également travaillé en tant qu'ingénieur matériel dans une société de travaux publics fabriquant des enrobés.
Ma question est simple: ai-je droit à revendiquer auprès des services publics à une quelconque reconnaissance du fait que j'ai été en contact avec l’amiante, et je le suis encore sur des navires étrangers dont la réglementation nationale autorise encore l'amiante, et par là-même bénéficier d'une cessation anticipée d'activité?
Si oui, pouvez-vous m'indiquer la marche à suivre?
Merci d'avance
Bien cordialement