- ven. 21 juin 2019 12:16
#4259
Bonjour,
Je suis dans la restauration et mon fils a été diagnostic dt1 l'année dernière. Suite à cette nouvelle je me suis mise en arrêt et d'autres problèmes de santé se sont greffés. J'ai dû prolonger mon arrêt jusqu'au mois de novembre 2018. De là j'ai repris en mi-temps thérapeutique. Le souci c'est qu'en tant que dt1 je dois être présente pendant les repas de mon fils pour le calcul des glucides et l'administration de l'insuline ainsi que de la digestion. Travaillant dans la restauration je suis censé être au servie pendant ces même heures. Le midi il mange à la cantine mais le soir je l'ai, et quand je travaillais ma mère le prenait. Mais elle a des problèmes de santé (BCPO) et ne peut plus s'en occuper. Son père est inexistant et est toute la semaine sur Paris. Par obligation je dois l'emmener le soir avec moi au travail (malgré que ce ne soit pas sa place mais je n'ai pas le choix) Les nourrices refusent de s'occuper et prendre la responsabilité d'un enfant diabétique et celles qui le veulent prennent extrêmement cher et bien sûr je n'ai pas de pension alimentaire. Sa sœur n'a que 14 ans et je ne peux pas lui laisser la responsabilité de son frère.
Les vacances scolaires vont arriver et je vais devoir m'en occuper midi et soir et je ne peux pas me couper en 2.
Pensez-vous que l'AJPP sera acceptée pour mon cas ?
De plus j'ai une autre question sur le fonctionnement : J'ai lu qu'il fallait envoyer une demande qui ne peut être refusé à l'employeur 15 jours avant. Jusque-là c'est clair. Donc là si j'envoie ma demande pour le 10 juillet je dois arrêter mon activité le 10 juillet ? Si je n'ai pas de réponse de la CAF pendant ces 15 jours, je dois arrêter quand même mon activité ou j'attends leur réponse et je continue de travailler jusqu'à avoir leur réponse malgré que la date du 10 juillet soit dépassée ? Si j'arrête le 10 juillet et que la CAF répond négativement à ma demande après l'arrêt de mon activité, je suppose que je dois reprendre mon activité forcement, mais pas d'indemnités… s'ils me répondent le 30 juillet par exemple que ma demande est refusée, pas d'indemnisation ni de mon employeur forcement puisque je n'aurais pas travaillé mais pas de la CAF non plus, donc un trou dans le budget de 20 jours… Il n'est pas possible de faire d'abord une demande savoir si c'est accepté avant de donner son congé à l'employeur ?
Je fais quoi le 10 juillet si je n'ai pas de réponse de la CAF je continu de travailler et si j'ai une réponse positive le 30 juillet par exemple, mon arrêt sera effectif le 30 juillet ? ou j'arrête quand même le 10 juillet au risque que ce soit négatif et de perdre 20 jours ?
J'ai du mal à comprendre ce passage… Je pensais qu'il fallait faire la demande à la CAF et si elle était acceptée, en avertir son employeur, mais c'est l'inverse, il faut déjà avertir son employeur avant la CAF. A moins que la réponse soit très rapide et demande que 15 jours. Dans ces cas-là si c'est négatif on continu l'activité ?
D'avance merci
Je suis dans la restauration et mon fils a été diagnostic dt1 l'année dernière. Suite à cette nouvelle je me suis mise en arrêt et d'autres problèmes de santé se sont greffés. J'ai dû prolonger mon arrêt jusqu'au mois de novembre 2018. De là j'ai repris en mi-temps thérapeutique. Le souci c'est qu'en tant que dt1 je dois être présente pendant les repas de mon fils pour le calcul des glucides et l'administration de l'insuline ainsi que de la digestion. Travaillant dans la restauration je suis censé être au servie pendant ces même heures. Le midi il mange à la cantine mais le soir je l'ai, et quand je travaillais ma mère le prenait. Mais elle a des problèmes de santé (BCPO) et ne peut plus s'en occuper. Son père est inexistant et est toute la semaine sur Paris. Par obligation je dois l'emmener le soir avec moi au travail (malgré que ce ne soit pas sa place mais je n'ai pas le choix) Les nourrices refusent de s'occuper et prendre la responsabilité d'un enfant diabétique et celles qui le veulent prennent extrêmement cher et bien sûr je n'ai pas de pension alimentaire. Sa sœur n'a que 14 ans et je ne peux pas lui laisser la responsabilité de son frère.
Les vacances scolaires vont arriver et je vais devoir m'en occuper midi et soir et je ne peux pas me couper en 2.
Pensez-vous que l'AJPP sera acceptée pour mon cas ?
De plus j'ai une autre question sur le fonctionnement : J'ai lu qu'il fallait envoyer une demande qui ne peut être refusé à l'employeur 15 jours avant. Jusque-là c'est clair. Donc là si j'envoie ma demande pour le 10 juillet je dois arrêter mon activité le 10 juillet ? Si je n'ai pas de réponse de la CAF pendant ces 15 jours, je dois arrêter quand même mon activité ou j'attends leur réponse et je continue de travailler jusqu'à avoir leur réponse malgré que la date du 10 juillet soit dépassée ? Si j'arrête le 10 juillet et que la CAF répond négativement à ma demande après l'arrêt de mon activité, je suppose que je dois reprendre mon activité forcement, mais pas d'indemnités… s'ils me répondent le 30 juillet par exemple que ma demande est refusée, pas d'indemnisation ni de mon employeur forcement puisque je n'aurais pas travaillé mais pas de la CAF non plus, donc un trou dans le budget de 20 jours… Il n'est pas possible de faire d'abord une demande savoir si c'est accepté avant de donner son congé à l'employeur ?
Je fais quoi le 10 juillet si je n'ai pas de réponse de la CAF je continu de travailler et si j'ai une réponse positive le 30 juillet par exemple, mon arrêt sera effectif le 30 juillet ? ou j'arrête quand même le 10 juillet au risque que ce soit négatif et de perdre 20 jours ?
J'ai du mal à comprendre ce passage… Je pensais qu'il fallait faire la demande à la CAF et si elle était acceptée, en avertir son employeur, mais c'est l'inverse, il faut déjà avertir son employeur avant la CAF. A moins que la réponse soit très rapide et demande que 15 jours. Dans ces cas-là si c'est négatif on continu l'activité ?
D'avance merci